De Dubrovnik à Korcula, sur une distance extrêmement réduite à l'échelle du grand voyageur virtuel que je suis (une sorte d'aventurier de l'ère GoogleEarth...) on découvre quelques dizaines d'îles, de toutes tailles, et dont les densités démographiques sont très variables. En toute logique, les plus petites sont désertes. Un fait remarquable est que ces petites émergences de roche et de terre, dont certaines ont une superficie si réduite qu'on en ferait le tour en une heure de marche, sont toutes, mais absolument toutes, vertes. D'un vert profond, uni, dense, et rafraîchissant. Le vert des arbres, probablement une variété de pins pour ce que j'en sais, qui trahit un climat tempéré, un sol sain et relativement fertile, une zone bien pourvue par la nature qui l'a conçue.
Un fait encore plus remarquable est que, la nature qui l'a conçue a complètement oublié d'y mettre des animaux. A ce stade du voyage, j'ai bien vu quatre mouettes se rapprocher d'une de ces îles, mais les effluves d'un chalutier à quelques centaines de miles les ont immédiatement fait virer de bord et ricaner de la petite île avec un mépris tout à fait raccord avec la méchanceté de ces volatiles.
Un fait encore plus remarquable est que, la nature qui l'a conçue a complètement oublié d'y mettre des animaux. A ce stade du voyage, j'ai bien vu quatre mouettes se rapprocher d'une de ces îles, mais les effluves d'un chalutier à quelques centaines de miles les ont immédiatement fait virer de bord et ricaner de la petite île avec un mépris tout à fait raccord avec la méchanceté de ces volatiles.
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